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Louise Medical Center - 02.534.29.99 - Clinique du sein à Bruxelles
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Docteur Witterwulghe   (English speaking doctor)
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Gastro entérologue : Médecin spécialiste en endoscopie - Proctologie - Echographie digestive
Chef de clinique d'endoscopie thérapeutique des Hôpitaux Iris Sud et consultant AZ-VUB
Lundi Mardi Mercredi Jeudi Vendredi Samedi
14:00 à 18:00 8:30 à 12:00 8:30 à 12:00   8:30 à 12:00  

Le docteur Witterwulghe exerce aussi au La Hulpe Médical Center, au C.H. Etterbeek-Ixelles,
au C.H. J. Bracops et à l'AZ - VUB à Bruxelles.

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La gastro-entérologie est la spécialité médicale qui étudie le tube digestif, le foie, le pancréas et qui traite les maladies de ces organes.

L’échographie et l’endoscopie sont particulièrement développées au Louise Medical Center à Bruxelles. Nous sommes les seuls en Belgique à faire toutes les gastroscopies diagnostiques avec un endoscope miniaturisé de moins de 5 mm de diamètre.

Le service de gastro-entérologie du Louise Medical Center à Bruxelles s’attache au dépistage et à la prévention des maladies digestives et en particulier du cancer recto-colique. Ce service assure la prise en charge quotidienne des urgences digestives et proctologiques.




La gastroscopie
La gastroscopie est l’examen de référence pour le diagnostic des affections de l’œsophage, de l’estomac et du duodénum. Sa réalisation est indispensable à un diagnostic précis permettant un traitement adéquat. Malheureusement, cet examen a souvent une mauvaise réputation et il doit être réalisé avec une sédation.



Extrémité du GIF N-180 (à gauche) comparée à celle d'un endoscope traditionnel (à droite)
Il y a quatre ans, nous avons initié en Belgique l’usage d’une technique nouvelle pour la gastroscopie diagnostique de routine: la nasogastroscopie à l’aide d’un appareil révolutionnaire : l’Olympus GIF N-180. Depuis, nous avons acquis l’expérience de plusieurs milliers d’examens. L’expérience et la réputation acquises font que la majorité de nos patients ne craint plus la gastroscopie, car dans ces conditions, elle est devenue pratiquement indolore. Plus de 90% de nos patients ne demandent plus de sédation. Ceci leur permet de conduire un véhicule sans attendre et de poursuivre immédiatement leurs activités professionnelles.

Ce qui rend la gastroscopie traditionnelle désagréable, ce sont les nausées provoquées par le passage de l’appareil sur la partie postérieure de la langue et son contact avec le palais. L’endoscope Olympus GIF-N 180 est le premier vidéo-gastroscope à descendre sous la barrière de 5 mm.



Tout le tube d’insertion a un diamètre de 4.9 mm. La finesse du naso-gastroscope permet de passer, sans douleur, cet appareil par le nez et ainsi, d’éviter le contact avec la langue et les nausées qui en résultent. Le passage par les narines n’est pas douloureux et est encore facilité par la réalisation d’un spray anesthésiant. Les qualités optiques de cet endoscope sont équivalentes à celles des meilleurs gastroscopes traditionnels. L’examen peut être mené complètement dans les meilleures conditions grâce à la collaboration du patient qui le tolère parfaitement.

Rarement un patient peut souhaiter que l’endoscope soit introduit par la bouche ou qu’une sédation lui soit administrée. Même dans ces cas, l’introduction de l’endoscope de 4.9 mm reste grandement facilitée par rapport aux endoscopes traditionnels.



La coloscopie
La coloscopie est l’introduction par l’anus d’un appareil fin et souple - le coloscope - qui dispose, à son extrémité, d’une caméra digitale miniaturisée de haute qualité, ainsi que de canaux opérateurs permettant l’introduction d’instruments de microchirurgie pour le traitement de certaines affections du côlon.

Cet examen nécessite une préparation adéquate réalisée par la prise de laxatifs appropriés. Cette préparation est prescrite par le gastro-entérologue. La coloscopie a la réputation d’être un examen gênant, parfois douloureux. C’est pourquoi, bien que dans la plupart des cas, elle puisse être réalisée en cabinet de gastro-entérologie, éventuellement avec une sédation, la coloscopie peut aussi être proposée sous anesthésie légère, en hôpital de jour.

Les meilleures conditions de réalisation, adaptées à chaque patient, peuvent être discutées avec le gastro-entérologue. 




dépistage et prévention
Certaines situations spécifiques ( pays d’origine, antécédents familiaux, contexte environnemental... ) peuvent faire rechercher d’autres affections.  Il existe des familles où les cancers d’organes digestifs ou non-digestifs sont fréquents. Les membres de ces familles nécessitent une attention toute particulière et un dépistage spécifiquement orienté. 

Le cancer de l’œsophage
Le cancer de l’œsophage augmente en fréquence dans nos pays. Cela est dû, d’une part, à la consommation chronique de tabac et d’alcool et d’autre part au reflux acide de l’estomac dans l’œsophage. Le reflux acide peut entraîner une lésion appelée œsophage de Barrett. Cette anomalie entraîne un risque majoré de cancer œsophagien justifiant une surveillance endoscopique. Chez tout patient souffrant de reflux acide, une endoscopie devrait être réalisée au moins une fois au cours de la vie. Cette endoscopie et la surveillance de l’œsophage de Barrett sont facilitées par l’utilisation de notre endoscope de très fin diamètre, le naso-gastroscope Olympus GIF N-180 de 4,9 mm. Nous avons initié cette technique nouvelle il y a quatre ans et nous avons réalisé depuis plusieurs milliers d’examens. L’expérience et la réputation acquises font que la plupart des patients ne demandent plus de sédation, ce qui leur permet de conduire un véhicule et de poursuivre immédiatement leurs activités professionnelles.

Le cancer de l'estomac ou cancer gastrique
Le cancer gastrique se développe le plus souvent sur une inflammation chronique, une gastrite secondaire à une infection par une bactérie : hélicobacter pylori. Cette bactérie doit être recherchée chez les proches parents des patients qui ont été affectés d’un cancer gastrique. La destruction de hélicobacter pylori par des antibiotiques appropriés réduit le risque de cancer gastrique. La fréquence du cancer gastrique dans les populations originaires du Japon et Chine justifie un dépistage systématique par endoscopie.

Le cancer colorectal
Un examen de prévention doit être proposé chez toutes personnes de plus de 50 ans. 
La prévention vise à prévenir une maladie; le dépistage ne fait que la détecter précocement... 
Dans certains cas le dépistage et la prévention doivent même être proposés avant 50 ans. En effet, des anomalies génétiques exposent certaines personnes à un risque élevé de cancer colorectal. C’est le cas des familles où les cancers sont fréquents, en particulier les familles où des cancers coliques ont déjà été diagnostiqués. C’est également le cas dans les polyposes coliques et le syndromes HNPCC. Le risque est également majoré dans les maladies inflammatoires du colon après plus de 8 ans d’évolution. 
La Communauté Française de Belgique propose un test de dépistage du cancer colorectal par la recherche de sang dans les selles. C’est bien mais, malheureusement ce test ne détecte que les cancers déjà présents et parfois un polype juste avant qu’il ne se cancérise. Ce test est donc trop tardif pour prévenir le cancer. 
Les sociétés scientifiques américaines s’associent pour recommander les tests de prévention du cancer plutôt qu’un test de dépistage. En mars 2009, l’American College of Gastroenterology a recommandé la réalisation de la coloscopie pour la prévention du cancer colorectal. 
En effet, la coloscopie est le seul examen qui permette à la fois la détection des lésions pré-cancéreuses et la prévention du cancer colorectal par la résection de ces lésions au cours du même examen.

Le cancer du foie
Les hépatites virales sont la principale cause de cancer du foie. Ces hépatites sont le plus souvent asymptomatiques mais peuvent être dépistées par une simple prise de sang. Cette prise de sang doit être proposée aux  personnes qui ont pu être  infectées.
En occident, une forme nouvelle de maladie hépatique potentiellement grave a fait son apparition : le "NASH", maladie de civilisation liée à l’excès de poids; elle est susceptible d’entraîner les mêmes complications que les hépatites virales chroniques. 
L’échographie joue un rôle central dans le dépistage et la prise en charge des maladies hépato-biliaires et d’autres organes abdominaux. 
Nous avons équipé nos consultations des appareils les plus performants afin d’y développer l’expertise qui nous a amené à enseigner l’échographie abdominale au sein du service de gastroentérologie de l’Hôpital Universitaire de la VUB ( UZ-Brussel ). 





La prévention du cancer colorectal

Le cancer colorectal ( également appelé cancer recto-colique ) est la troisième cause décès par cancer en Occident. Tous les ans, 7500 nouveaux cas sont diagnostiqués en Belgique.
Malgré les progrès thérapeutiques, plus de la moitié des patients décèdent des suites de cette maladie...


Le cancer colorectal se développe le plus souvent sur des lésions bénignes : les polypes.
Ces polypes peuvent être réséqués en cours de coloscopie, c’est la "polypectomie".
Ce geste permet de prévenir le cancer colorectal.


La survenue du cancer colorectal peut être évitée chez la majorité des patients qui ont bénéficié d’un examen de prévention. La prévention vise à éviter l’apparition d'une maladie ; le dépistage ne fait que la détecter précocement alors qu’elle est déjà présente. Un examen de prévention du cancer colorectal doit être proposé à toutes les personnes de plus de 50 ans, et même avant, dans certains cas.
En effet, des anomalies génétiques exposent certaines personnes à un risque élevé de cancer recto-colique précoce.

En mars 2009, l’ American College of Gastroenterology a recommandé la réalisation de la coloscopie pour la prévention du cancer colorectal.

Le coloscopie
La coloscopie totale explore l'entièreté du colon. C'est l’examen de référence pour la détection des lésions pré-cancéreuses.
C'est aussi le seul examen qui permet la prévention du cancer colorectal par la résection de ces lésions au cours de la même séance.
La fréquence des coloscopies de dépistage est fixée par le résultat du premier examen : s’il est normal, la coloscopie suivante sera réalisée 5 à 10 ans plus tard.

Comment la coloscopie est-elle réalisée ?
La coloscopie est l’introduction par l’anus d’un appareil fin et souple, le coloscope, qui dispose à son extrémité d’une caméra digitale miniaturisée de haute qualité et de canaux opérateurs permettant l’introduction d’instruments de microchirurgie pour le traitement de certaines affections du colon. La polypectomie est le traitement qui permet la résection des polypes potentiellement précancéreux.
Cet examen nécessite une préparation adéquate réalisée par la prise de laxatifs appropriés. Cette préparation est prescrite par le gastro-entérologue.
La coloscopie a la réputation d’être un examen gênant, parfois douloureux. C’est pourquoi, bien qu'elle puisse être réalisée dans la plupart des cas en cabinet de gastro-entérologie, éventuellement avec une sédation, la coloscopie peut être proposée sous anesthésie légère, en hôpital de jour.



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