IVG
Interruption de grossesse volontaire
L'AVORTEMENT (IVG) EN BELGIQUE ET A BRUXELLES
Vous êtes enceinte et vous ne pouvez ou ne voulez pas poursuivre cette grossesse. Vous pouvez décider de l’interrompre et de faire donc une IVG à Bruxelles. Il s’agit d’une décision personnelle qui, si elle n’est pas facile à prendre, n’appartient qu’à vous. Depuis le 3 avril 1990, l’avortement est dépénalisé en Belgique sous réserve de respecter certaines conditions.
DELAI D'INTERVENTION POUR UNE IVG A BRUXELLES
- entre 3 et 5 semaines (5 et 7 semaines d’aménorrhée) peut être pratiquée par voie médicamenteuse
- de 5 à 12 semaines de grossesse (7 à 14 semaines d’aménorrhée) l’IVG à Bruxelles peut être pratiquée par un gynécologue.
Notre centre, et son département de médecine spécialisée IVG Bruxelles, constitue aujourd’hui l’une des plus importante structure médicale privée de la région Bruxelles Capitale, en rassemblant sous un même toit une équipe pluridisciplinaires de plus de 100 médecins spécialistes et de paramédicaux. Situé en plein coeur de Bruxelles, il est facile d’y accéder par tous les moyens possibles : voiture, tram, bus, …
Afin de mieux vous servir et vous soigner, notre centre s’est organisé aussi en différentes « cliniques », comme la Check-up Clinic, la Clinique de la Femme ou la Clinique de la Ménopause, chacune entièrement dédiée à un aspect important de votre santé et composé des meilleurs médecins spécialistes. Cette organisation en cliniques, simplifie les rendez-vous si vous devez rencontrez plusieurs spécialistes ou permet aussi de vous proposer des bilans qui seront la plupart du temps réalisés dans la même journée.
Notre structure vous permettra de pouvoir réaliser tous les examens préalables et de planifier votre intervention au sein même notre centre vous apportant ainsi facilité, discrétion et rapidité.
Le centre héberge aussi ses propres salles d’opérations, ses chambres de repos pour vous permettre là aussi de pouvoir bénéficier de toute l’infrastructure nécessaire au bon déroulement de votre intervention.
L’organisation des interventions et du repos post-opératoire se fait sur un système de « One Day Clinic« , ce qui veut dire que vous pourrez rentrez chez vous quelques heures seulement après la fin de votre intervention.
Pour vous offrir encore plus de confort et de facilité, nous organisons aussi les trajets via notre service « Shuttle ». Grâce à celui-ci, un chauffeur viendra vous chercher à votre domicile et vous reconduira chez vous après votre intervention et/ou le délai nécessaire à votre récupération. De cette manière, comme dans certains cas (anéthesie locale ou générale) il n’est pas recommander de conduire, vous n’aurez pas non plus à vous soucier de trouver quelqu’un pour vous conduire ou vous reprendre après votre intervention. Dans le cas d’une intervention avec anesthésie générale, ce service vous sera offert sur simple demande.
Le délai autorisé par la loi est de 12 semaines maximum entre la fécondation et l’avortement. En outre, il ne faut pas consulter le médecin traitant ou le gynécologue trop tard car la loi impose un délai de 6 jours entre la première visite médicale et l’avortement.
L’avortement est toléré au-delà du délai de 12 semaines dans deux cas particuliers :
– lorsque la grossesse met en danger la santé de la mère
– lorsque les différents examens médicaux révèlent que l’enfant à naître sera atteint d’une affection grave, reconnue comme incurable au moment du diagnostic.
Dans ces circonstances, pour confirmer son diagnostic, le médecin consulté par la femme enceinte doit demander l’avis d’un confrère avant de pratiquer l’avortement. Cet avis sera ensuite ajouté au dossier médical.
Le temps passé définit la méthode qui sera utilisée :
– entre 3 et 5 semaines (5 et 7 semaines d’aménorrhée) peut être pratiquée par voie médicamenteuse
– de 5 à 12 semaines de grossesse (7 à 14 semaines d’aménorrhée) avec l’intervention d’un gynécologue.
Quelque soit la méthode préconisée, les médecins de l’IVG Bruxelles seront toujours à votre disposition et à votre écoute afin de planifier au mieux et avec vous, l’une ou l’autre méthode d’intervention. Il est bon de rappeler que les médecins que vous rencontrerez à l’IVG Bruxelles sont tenus au secret médical et que, par conséquent, tout se décidera et restera entre lui et vous. |
Le temps passé définit la méthode qui sera utilisée par votre médecin de l’IVG Bruxelles:
– entre 3 et 5 semaines (5 et 7 semaines d’aménorrhée) peut être pratiquée par voie médicamenteuse
– de 5 à 12 semaines de grossesse (7 à 14 semaines d’aménorrhée) avec l’intervention d’un gynécologue.
La méthode médicamenteuse:
Cette méthode, qui provoque l’expulsion de l’embryon, est pratiquée jusqu’à 7 semaines de grossesse. Elle s’adresse donc aux femmes qui connaissent rapidement leur état de grossesse et sont assez vite certaines de vouloir l’interrompre. Le gynécologue qui suivra votre cas au centre IVG Bruxelles est le seul habilité à prescrire le médicament permettant l’avortement (ou IVG). Cette méthode se réalise en, au minimum, deux rendez-vous.
Comment ?
Avec la pilule abortive, l’avortement se déroule en deux étapes : la première consiste à arrêter l’évolution de la grossesse, la deuxième à expulser l’embryon. Pour arrêter l’évolution de la grossesse, le médecin vous fait prendre, en sa présence, un comprimé de Mifégyne™. Il s’agit d’un médicament qui stoppe le développement de l’embryon. Entre 36 à 48 heures plus tard, vous revenez chez le médecin qui vous administre alors une substance qui provoque des contractions dans l’utérus et déclenche l’expulsion de l’embryon par voie naturelles. L’avortement par pilule abortive est donc, contrairement à l’avortement par aspiration, une méthode non invasive assimilée à une fausse couche. L’expulsion de l’embryon se produit en général 2 à 4 heures après la prise des comprimés. Si cela ne fonctionne pas, votre gynécologue du centre IGV Bruxelles vous prescrira la médication une seconde fois.
Il faut savoir que l’expulsion peut survenir plus tard, le soir ou le lendemain ; elle ne se déroulera donc pas forcément au centre.
Qui délivre la Mifégyne ?
La Mifégyne™ ne se vend pas en pharmacie. Elle est uniquement délivrée aux médecins habilités à pratiquer une IVG, et à personne d’autre. Les médecins sont tenus d’en justifier chaque utilisation. L’information doit notamment être inscrite dans le dossier médical de la patiente.
Il ne faut surtout pas confondre la pilule du lendemain avec la pilule abortive (dans un cas comme dans l’autre, en cas d’hésitation, prenez rendez-vous avec l’un des médecins gynécologue du centre IVG Bruxelles qui vous donnera toutes les informations nécessaires et vous guidera vers la solution adéquate à votre situation.
En aucun cas, la pilule du lendemain n’interrompt une grossesse. C’est une contraception d’urgence commercialisée sous le nom de Norlevo™, à utiliser le plus vite possible (dans les 72 heures) après un rapport sexuel sans protection pour éviter une éventuelle grossesse.
L’intervention via un gynécologue:
Délai maximal de 12 semaines de grossesse.
Cette intervention se déroule en 4 étapes :
- Étape 1 : première visite
Lors de cet entretien, un médecin gynécologue vous donnera des informations sur l’IVG, et vous aidera à clarifier votre choix. Ensuite, ce médecin fera un examen gynécologique : grâce à une échographie, il pourra évaluer l’âge de la grossesse. Enfin, vous fixerez ensemble un second RDV après un délai de réflexion de 6 jours et la proposition de consulter un psychologue pour vous accompagner et conforter votre décision le jour de l’intervention.
- Étape 2 : 2ᵉ contrôle échographique après un temps de réflexion de 6 jours.
- Étape 3 : IVG
- Étape 4 : Visite médicale de contrôle
Quelque soit la méthode préconisée, les médecins de l’IVG Bruxelles seront toujours à votre disposition et à votre écoute afin de planifier au mieux et avec vous, l’une ou l’autre méthode d’intervention. Il est bon de rappeler que les médecins que vous rencontrerez à l’IVG Bruxelles sont tenus au secret médical et que, par conséquent, tout se décidera et restera entre lui et vous. |
Le temps passé définit la méthode qui sera utilisée :
– entre 3 et 5 semaines (5 et 7 semaines d’aménorrhée) une IVG à Bruxelles peut être pratiquée par voie médicamenteuse
– de 5 à 12 semaines de grossesse (7 à 14 semaines d’aménorrhée) une IVG à Bruxelles doir se faire avec l’intervention d’un gynécologue.
La méthode médicamenteuse:
Cette méthode, qui provoque l’expulsion de l’embryon, est pratiquée jusqu’à 7 semaines de grossesse. Elle s’adresse donc aux femmes qui connaissent rapidement leur état de grossesse et sont assez vite certaines de vouloir l’interrompre.
Avec la pilule abortive, l’avortement ou IVG se déroule en deux étapes : la première consiste à arrêter l’évolution de la grossesse, la deuxième à expulser l’embryon.
Pour arrêter l’évolution de la grossesse, le médecin vous fait prendre, en sa présence, un comprimé de Mifégyne™. Il s’agit d’un médicament qui stoppe le développement de l’embryon. Entre 36 à 48 heures plus tard, vous revenez chez le médecin qui vous administre alors une substance qui provoque des contractions dans l’utérus et déclenche l’expulsion de l’embryon par voie naturelles.
L’avortement par pilule abortive est donc, contrairement à l’avortement par aspiration, une méthode non invasive assimilée à une fausse couche.
L’expulsion de l’embryon se produit en général 2 à 4 heures après la prise des comprimés. Si cela ne fonctionne pas, la femme reprendra la médication une seconde fois. Il faut savoir que l’expulsion peut survenir plus tard, le soir ou le lendemain ; elle ne se déroulera donc pas forcément au centre
L’intervention via un gynécologue:
Délai maximal de 12 semaines de grossesse.
Au cours d’un premier entretien, le gynécologue du centre vous informe d’une manière globale sur l’avortement : vos droits, les aides, le déroulement des différentes étapes, les méthodes utilisées … Vous y trouverez une écoute ouverte qui ne banalise pas la situation et, surtout, ne vous culpabilise pas.
L’interruption de grossesse chirurgicale au centre IVG Bruxelles se déroulera toujours sous anesthésie générale. Même si l’intervention ne requiert pas absolument une anesthésie générale, ce choix a été fait par les médecins du centre IVG à Bruxelles dans le but de diminuer au maximum les sensations et douleurs désagréables que la patiente pourrait ressentir durant d’intervention d’avortement (ou IVG).
Notre centre vous offre une qualité d’accueil et d’accompagnement, lors d’une IVG à Bruxelles, qui convient à votre préoccupation.
L’organisation des interventions et du repos post-opératoire se fait sur un système de « One Day Clinic », ce qui veut dire que vous pourrez rentrez chez vous quelques heures seulement après la fin de votre intervention.
Notre centre situé au coeur de Bruxelles héberge aussi ses propres salles d’opérations, ses chambres de repos pour vous permettre là aussi de pouvoir bénéficier de toute l’infrastructure nécessaire au bon déroulement de votre intervention (IVG).
Pour vous offrir encore plus de confort et de facilité, nous organisons aussi les trajets via notre service « Shuttle ». Grâce à celui-ci, un chauffeur viendra vous chercher à votre domicile et vous reconduira chez vous après votre IVG et/ou le délai nécessaire à votre récupération.
Le 3 avril 1990, la loi dite «loi Lallemand-Michielsen» proposant la dépénalisation conditionnelle de l’avortement est adoptée. Pour être légale, l’IVG doit être pratiquée avant la 12e semaine depuis la conception (ou 14 semaines d’aménorrhée. Les conditions suivantes doivent être respectées :
– la femme doit présenter un état détresse reconnu par un médecin (cet état n’est pas plus défini par la loi);
– l’interruption doit être pratiquée par un médecin;
– des informations sur les alternatives possibles à l’avortement doivent être mises à disposition de la patiente;
– un délai de 6 jours doit être respecté entre le premier contact et le jour de l’avortement.
Concernant le dernier point, la jurisprudence reconnait qu’il n’est pas toujours possible à respecter en cas d’urgence.
Notons également qu’aucun médecin ou personnel médical (y compris les étudiants) n’est obligé de participer à une IVG si cela va à l’encontre de ses convictions personnelles. Cependant, le médecin est obligé, le cas échéant, d’adresser la patiente vers un centre ou un médecin qui pourra accéder à sa demande.
Au-delà de 14 semaines d’aménorrhée, l’interruption thérapeutique de grossesse est possible en cas de risque pour la santé de la mère ou de l’enfant. Elle se pratique en hôpital ou dans un centre médical spécialisé (toujours au-delà de 14 semaines d’aménorrhée) ou en planning familial, par médicament (mifépristone suivi de misoprostol) ou par intervention (aspiration). Elle est presque entièrement remboursée par la mutuelle.
Le personnel et les médecins du centre médical spécialisé IGV Bruxelles se tiennent à votre disposition pour tout complément d’informations.
Questions - Réponses
Notre centre vous offre une qualité d’accueil et d’accompagnement qui convient à votre préoccupation.
L’organisation des interventions et du repos post-opératoire se fait sur un système de « One Day Clinic », ce qui veut dire que vous pourrez rentrez chez vous quelques heures seulement après la fin de votre intervention.
Le centre héberge aussi ses propres salles d’opérations, ses chambres de repos pour vous permettre là aussi de pouvoir bénéficier de toute l’infrastructure nécessaire au bon déroulement de votre intervention.
Notre centre constitue aujourd’hui l’une des plus importante structure médicale privée de la région Bruxelles Capitale, en rassemblant sous un même toit une équipe pluridisciplinaires de plus de 100 médecins spécialistes et de paramédicaux.
Pour vous offrir encore plus de confort et de facilité, nous organisons aussi les trajets via notre service « Shuttle ». Grâce à celui-ci, un chauffeur viendra vous chercher à votre domicile et vous reconduira chez vous après votre intervention et/ou le délai nécessaire à votre récupération.
Situé en plein coeur de Bruxelles, il est facile d’y accéder par tous les moyens possibles : voiture, tram, bus, …
C’est un acte médical simple et les complications sont exceptionnelles.
La loi l’autorise jusqu’à 12 semaines de grossesse (14 semaines depuis le premier jour des dernières règles, en terme d’aménorrhée).
Tout d’abord faites confirmer votre grossesse par un examen sanguin ou par un des tests vendu en pharmacie puis au cours d’une consultation chez un de nos médecins, vous décider avec lui de la méthode la plus appropriée.
Il est de votre intérêt de faire cette démarche le plus tôt possible, ce qui vous laissera le temps de prendre votre décision; 6 jours de réflexion sont conseillés après cette première consultation.
– entre 3 et 5 semaines (5 et 7 semaines d’aménorrhée) peut être pratiquée par voie médicamenteuse
– de 5 à 12 semaines de grossesse (7 à 14 semaines d’aménorrhée) avec l’intervention d’un gynécologue.
Le délai autorisé par la loi est de 12 semaines maximum entre la fécondation et l’avortement. En outre, il ne faut pas consulter le médecin traitant ou le gynécologue trop tard car la loi impose un délai de 6 jours entre la première visite médicale et l’avortement. L’interruption thérapeutique de la grossesse (ITG) à l’hôpital
L’avortement est toléré au-delà du délai de 12 semaines dans deux cas particuliers :
– lorsque la grossesse met en danger la santé de la mère
– lorsque les différents examens médicaux révèlent que l’enfant à naître sera atteint d’une affection grave, reconnue comme incurable au moment du diagnostic.
Dans ces circonstances, pour confirmer son diagnostic, le médecin consulté par la femme enceinte doit demander l’avis d’un confrère avant de pratiquer l’avortement. Cet avis sera ensuite ajouté au dossier médical.
La méthode médicamenteuse:
Cette méthode, qui provoque l’expulsion de l’embryon, est pratiquée jusqu’à 7 semaines de grossesse. Elle s’adresse donc aux femmes qui connaissent rapidement leur état de grossesse et sont assez vite certaines de vouloir l’interrompre.
Avec la pilule abortive, l’avortement se déroule en deux étapes : la première consiste à arrêter l’évolution de la grossesse, la deuxième à expulser l’embryon.
Pour arrêter l’évolution de la grossesse, le médecin vous fait prendre, en sa présence, un comprimé de Mifégyne™. Il s’agit d’un médicament qui stoppe le développement de l’embryon. Entre 36 à 48 heures plus tard, vous revenez chez le médecin qui vous administre alors une substance qui provoque des contractions dans l’utérus et déclenche l’expulsion de l’embryon par voie naturelles.
L’avortement par pilule abortive est donc, contrairement à l’avortement par aspiration, une méthode non invasive assimilée à une fausse couche.
L’expulsion de l’embryon se produit en général 2 à 4 heures après la prise des comprimés. Si cela ne fonctionne pas, la femme reprendra la médication une seconde fois. Il faut savoir que l’expulsion peut survenir plus tard, le soir ou le lendemain ; elle ne se déroulera donc pas forcément au centre
L’intervention via un gynécologue:
Délai maximal de 12 semaines de grossesse.
- Étape 1 : première visite
Lors de cet entretien, un médecin gynécologue vous donnera des informations sur l’IVG, et vous aidera à clarifier votre choix. Ensuite, ce médecin fera un examen gynécologique : grâce à une échographie, il pourra évaluer l’âge de la grossesse. Enfin, vous fixerez ensemble un second RDV après un délai de réflexion de 6 jours et la proposition de consulter un psychologue pour vous accompagner et conforter votre décision le jour de l’intervention.
- Étape 2 : 2ᵉ contrôle échographique après un temps de réflexion de 6 jours.
- Étape 3 : IVG
- Étape 4 : Visite médicale de contrôle
La Mifégyne™ ne se vend pas en pharmacie. Elle est uniquement délivrée aux médecins habilités à pratiquer une IVG, et à personne d’autre. Les médecins sont tenus d’en justifier chaque utilisation. L’information doit notamment être inscrite dans le dossier médical de la patiente.
Il ne faut surtout pas confondre la pilule du lendemain avec la pilule abortive:
La pilule du lendemain retarde l’ovulation, empêchant ainsi la rencontre entre le sperme et l’ovule. Elle n’est donc absolument pas assimilée à un avortement puisqu’elle intervient AVANT la conception de l’enfant.
En aucun cas, la pilule du lendemain n’interrompt une grossesse. C’est une contraception d’urgence commercialisée sous le nom de Norlevo™, à utiliser le plus vite possible (dans les 72 heures) après un rapport sexuel sans protection pour éviter une éventuelle grossesse.
Il est difficile de généraliser la notion de douleur ressentie lors d’un avortement dans la mesure où chaque être humain a son propre seuil de tolérance face à la douleur.
Pour l’une, l’avortement aura le même effet qu’un pincement. Pour l’autre, la douleur ressemblera à des spasmes aigus. Toutefois, une large majorité de femmes témoignent d’une douleur ressemblant à celle des règles.
La douleur est aussi variable en fonction de la méthode d’avortement choisie. L’IVG chirurgicale (par aspiration) est relativement confortable dans la mesure où elle a lieu sous anesthésie générale. La méthode médicamenteuse serait un peu plus douloureuse car elle provoque des contractions et des saignements.
Quelle que soit la méthode d’avortement utilisée, les médecins sont attentifs à la douleur et font tout pour y remédier : anti-douleurs, relaxants, etc.
Auparavant, lorsque l’on parlait de risques concernant un avortement, la première idée qui venait à l’esprit était relative à sa légalité.
Grâce à la loi de 1990, cette question est à présent clarifiée. Les femmes envisageant une IVG se posent cependant d’autres questions légitimes quant aux risques pour leur santé et leur sexualité future.
Pour la santé ou la sexualité
Les risques d’un avortement sur la santé sont minimes, dans la mesure où l’intervention est sécurisée (présence du médecin, hygiène et matériel approprié). Les complications sont rares.
En outre, contrairement à certaines idées reçues, l’avortement ne rend pas stérile et n’a aucune incidence sur les capacités sexuelles ou sur une grossesse ultérieure.
Des conséquences sur l’équilibre psychologique
On n’a pas constaté de troubles psychologiques plus fréquents chez les femmes ayant subi une IVG, et cela, quelle que soit la méthode d’avortement choisie.
Cependant, chaque femme est unique et vit cette situation à sa façon avec des émotions plus ou moins fortes, positives ou négatives.
Ces émotions sont influencées par votre état de santé général et surtout par une série d’autres facteurs : l’environnement familial, la cause de l’avortement, le soutien de l’entourage…
Un avortement peut provoquer de la dépression, de la colère ou au contraire un soulagement et un bien-être. Chez certaines femmes, les émotions sont puissantes, inattendues mêmes. Chez d’autres, l’opération ne laisse pas de traces.
Si un malaise intérieur s’installe, si un sentiment de culpabilité vous assaille, si vous avez le sentiment que votre vie devient morne, si des problèmes sexuels en découlent, si le désir se réduit, … demandez de l’aide à votre médecin ou à un psychologue (par exemple, celui du centre médical). Il suffira parfois de peu pour retrouver votre énergie.
La loi ne définit pas d’âge sous lequel une jeune fille ne pourrait pas demander une interruption volontaire de grossesse.
Comme la loi est floue, les situations se règlent sur le terrain, au cas par cas. C’est le rôle du médecin d’apprécier la situation de détresse de la jeune fille. Il existe une jurisprudence qui donne raison à des médecins qui ont pratiqué un avortement sans l’autorisation des parents de la mineure.
Les établissements de soins pratiquant l’avortement ne font pas n’importe quoi et cherchent à évaluer la maturité de la jeune fille au cours des différents entretiens.
Toute patiente qui souhaite avorter bénéficie du droit au secret médical absolu.
Le prix de l’intervention varie en fonction de la méthode utilisée. Il convient donc d’en discuter avec le médecin gynécologue que vous rencontrerez au centre médical (1ère visite obligatoire avant toute intervention).
Le prix demandé incluera de tout façon l’ensemble des frais liés à l’intervention, tel que, les médications pour la méthode médicamenteuse ou les différents postes de l’intervention chirurgicale (visites préalables, réservation du bloc opératoire, honoraires du chirurgien gynécologue et de l’anesthésiste, chambre en One-Day Clinic, …)
Pour la méthode chirurgicale, qui nécessite une anesthétie générale, vous pourrez bénéficier de notre service Shuttle sur simple demande. De cette manière, vous n’aurez pas, par facilité ou volonté de discrétion, besoin de prévoir que quelqu’un vous amène au centre et vous reconduise après l’intervention. Notre chauffeur s’en occupera !
Confidentialité
Un avortement ne sera jamais mentionné comme tel dans le récapitulatif demandé par le titulaire du carnet de mutuelle.
Informations & Rendez-vous | 02 / 534.29.99 |